Tu étais l'un de ces pions dévoué à Hidenori, l'une des ces pièces tout volontaire pour accomplir ce jour. C'est sans l'ombre d'un doute que tu rejoins les protagonistes tout désignés de cette nouvelle ère. Je vous ai attendu durant, si longtemps. Et tu te ranges à leurs côtés avant de faire face à tout ceux qui n'avaient pas encore réalisé la réalité, tu regardes Shion, Ishan. Cette ère est révolue.
résumé : rajan est la catin d'hidenori c 1 méchant dsl
>> Au songe du trépas
Alors qu’elle était en train de parler avec Himawari, la jeune sorcière fit un signe de la tête en ta direction Naomi.
Mais la discussion fut bien vite coupée par une apparition. Alors… C’était qu’ils prévoyaient depuis le début ? Depuis que tu avais reçu…
Il n’y a pas le temps de réfléchir, il fallait agir. Directement, ses yeux cendrés se posèrent dans les tiens, toi son amie.
« Hima ?? Est-ce que tu as vu mon frère ?? » Te demanda-t-elle une voix beaucoup moins calme que d’habitude, on pouvait y sentir la panique.
Elle devait le retrouver, elle devait rapidement le retrouver avant que les hostilités ne commencent. Pour le moment, pas de choix à faire. Kazuki passait avant sa propre vie.
« Kazuki ??? Réponds-moi ! » Dit-elle en scrutant la foule des yeux.
C’était rare, mais Ayumi était vraiment en train de paniquer…
S’il vous plait, qu’elle le trouve rapidement.
S’il vous plait qu’il ne lui arrive rien.
S’il vous plait, qu’elle fasse le bon choix.
Et tout ça, c’était de ta faute, sombre enfoiré !
Résumé : Ayumi demande à Himawari et Naomi s'ils ont vus son frère, Elle le cherche avant toute chose !!
Tous le connaissaient, inconsciemment. Peut-être parce qu’il était la racine de l’arbre de toutes leurs convictions, des convictions erronées, déportées vers une bienveillance terriblement humaine. La nature, leur nature à tous les avait poussé à se détourner de la condescendance méprisable d’un individu si imbu de lui-même, mais Hotaru ne parvenait pas à s’en montrer fier. Ses dents claquaient sous l’effet de la peur, cette peur qui coupait court à ses moindres sentiments ; cette peur qui le poussait à cette docilité honteuse.
Un pas en avant, les jambes tremblantes, firent peser sur lui des montagnes de doute. Hotaru voulait vivre. Son frère, son cousin, ses amis… non, même pour lui, il voulait vivre, et un peu de courage ne valait pas de perdre la vie ici. C’est ce que dirait son frère. Son frère, oui… il l’avait vu. Il avait senti ce contact chaleureux qui lui était unique - mais où ?
Son regard pivota autour de lui pour croiser l’oeil inquiet de Tsubaki - comme il s’y attendait. Inquiet pour lui… comme il l’avait toujours été. Cette bienveillance, lui qui l’avait protégé des coups, de tout le Mal du monde tandis qu’il prenait finalement forme humaine.
Tsubaki… Un murmure, une prière. Désolé.
Il ne pouvait pas s’y résoudre, pas même un peu. Et son oeil épris de peur reprit contenance, doucement, à mesure qu’il levait la tête pour défier la perfection apparente de ce démon. Des mots ne suffiraient pas à le faire ployer, et tel qu’il se connaissait, à présent, rien n’y parviendrait. Tsubaki s’était toujours inquiété, à raison. Il avait un frère têtu, téméraire, et un peu trop gentil pour ce monde détraqué.
Hé, grand-père.
Sa voix sortit dans un souffle. Il s’était attendu à crier pour se faire entendre, mais devant le sang-froid olympien qu’il était parvenu à déployer, il pouvait entendre jusqu’aux battements réguliers d’un coeur résolu. Sans lâcher Seimei du regard, il rejoignit son frère tout en sortant sa baguette, sachant pertinemment qu’elle ne le sauverait pas. Mais ce geste, en lui-même, suffisait à lui donner du courage.
Tu peux les prendre, les lâches qui veulent sauver leur peau. Nous, nous avons une véritable résolution et nous ne nous laisserons pas tuer si facilement.
Sa voix portait, inflexible, tandis qu’à tout instant, ses jambes menaçaient de lâcher. Je vais mourir, se dit-il en pleurnichant presque, et à raison.
(Hotaru rejoint Tsubaki et clash vos daronnes)
Et tu ne reconnais aucun visage, tout te semblait si flou, ton coeur bat à tout rompre. Rejoindre ces hommes ? Non, tu refusait de vivre dans de faux semblant. Et finalement, dans cette foule, tu vois le visage de celui que tu considérais comme ton frère, yori, yori, yori. Tu prends la main la main de ton ainé dans cette foule. yori. Tu as le souffle coupé comme si tu avais couru un véritable marathon, ta peine avait prit le contrôle de ton corps. Tu es ténanisé. Il faut s'en aller. mais où, il n'y avait nul part ou fuir.
Résumé : tetsuya rejoins yori et panique, il veut partir
31.01.97
Tu rejoins le groupe de Yori et lâches brutalement : Nanami ! Est-ce que t'as vu Nanami ? Elle va bien, le pendentif ne s'est pas coloré. Et tes doigts gardent la baguette serrée, serrée, et tu attrapes l'avant-bras libre de Yori : On s'en va. Il faut s'en aller. Et tu n'es pas le seul à le dire, à le répéter.
hrp : hajime flippe pour nanami, rejoint yori
Ce sentiment, elle ne le connaissait que trop bien.
Elle l’avait si souvent éprouvé, aujourd’hui atténué par le poids des responsabilités, et d’une affection dont elle regrettait parfois l’existence.
Akina n’était plus la même - indéfectiblement.
Mais en dépit de tout cela, elle parvenait à se délecter de ces moments.
Ainsi, lorsque son instinct la dictait vers la tentation d’une violence facile, elle regrettait de pouvoir contester ce qui avait si longtemps été son unique vérité. Il aurait suffi d’un mot, articulé sous les froides syllabes de l’impératrice du chaos qu'elle n'avait jamais vraiment cessé d'être. La soumission, à l’instar de la simple pensée de ces idéaux imposés, la faisait vomir. Elle n’éprouvait que dégoût tandis que ses iris se plantaient, sans gêne aucune, dans ceux de cette entité millénaire au discours archaïque.
Tout en lui la poussait à l’agacement. Elle l’avait vu aux premiers instants, et alors qu’elle se sentait devenir de plus en plus tendue sous l’impulsion d’un agacement croissant, comprenait que les évidences logiques qui imprégnaient la pensée de cet individu étaient à l’encontre de ses valeurs.
Et pourtant, son corps tremblait doucement, comme une berceuse, le rappel nécessaire de sa condition humaine.
Alors, ses yeux félins semblèrent s’éclaircir, embués par l’atmosphère presque délicate de ses sentiments limpides. Elle n’avait jamais douté de sa propre position. Pas une seconde, pas un instant, parce qu’elle ne réagissait pas seconde la logique apeurée de l’immensité majorité alentour. Elle clamait ses instincts animals, mais le sien ne lui avait pas offert le bénéfice d’une peur salvatrice. De fait, l’issue lui semblait claire : il n’y avait rien à craindre. Ou du moins, cette crainte ne méritait pas qu’elle s’y attarde. La lueur intempestive de ses iris ambrés se détournèrent vers le sol qu’elle détailla, n’y tenant plus - la vision simple de cet ancêtre lui révulsait l’estomac.
« Tu me dégoûtes terriblement. »
Elle s’avança de quelques pas, et d'un malheureux hasard, passa devant Kiyo qui progressait à allure doucereuse vers Seimei. Akina s’arrêta abruptement, lui bloquant le passage le temps de lui offrir, par le biais du regard, tout le mépris que son âme se sentait à même de partager.
Elle ne lui en voulait plus. Kiyo avait fait ses choix de vie, et leur altercation appartenait à un passé qu’elle avait pardonné, car pour elle, qui avait changé quelque peu, leur lien était d’autant plus important. Lui, était d’autant plus important. Et il gâchait tout, par ce geste poltron - et elle, si insouciante, si imbécile, se laissait aller aux envies suicidaires d’une amoureuse de liberté.
Sans un mot, elle avait continué sa route, désireuse de ne plus croiser la sienne - il ne tenait qu’à lui de faire ses propres choix, si décevant qu’ils soient pour elle. Avec un imperceptible soupir, elle rejoignit Eirin pour l’étreindre de toutes ses forces, la tête dans son cou, lui murmurant :
« Ne me lâche pas. Cet arriviste, je meurs d’envie d’aller lui enfoncer ma baguette dans les yeux. »
Et sa voix dérailla en un gloussement, alors que s’envolaient les brefs espoirs de sa sanité d’esprit.
(Akina regarde trop mal Seimei + regarde trop mal Kiyo + va câliner Eirin)
traversant la foule, observant le visage impassible, car surprise il n'y avait pas. sa décision était prise, murement réfléchie depuis longtemps. il s'avança pour faire face à son destin, ou ce qui personnifiait le mieux le grand malin actuellement. tirant le sabre familial de son fourreau antique, il enchante discrètement d'un feudeymon la lame qui se met à rougeoyer sous les faibles rayons d'un soleil translucide. sa voix puissante résonna alors sur le parvis du palais, « tsukino !! ». l'agression valait déclaration de guerre, l'arme pointée vers l'ennemi. faisant fi des circonstances ou des spectateurs, il insista un peu plus : « j'attends ce moment depuis si longtemps. ». rien ne l'intéressait plus à ce moment précis que régler ses comptes avec celui qui avait mis en l'air sa vie ces dernières années. et si cela pouvait aider quelques élèves à fuir, c'était encore mieux.
La nausée te monte ; la panique te gagne, alors que tu comprends le danger imminent qui vous guette.
Ange, Kiyoshi, Tsubaki, Hotaru, Himawari ; tu dois savoir où ils sont, t’assurer qu’ils sont en sécurité, rester avec eux. Mais la main de Kiyo te tire, droit vers Seimei.
« Kiyo, attend. »
Calme, mais la voix pressante ; tu ne tiens pas à te précipiter dans ce choix.
Et c’est Kiyoshi qui vous rejoins, qui prend ton autre main, qui te prie tacitement de ne pas suivre, qui a les larmes aux yeux.
Tes mains se serrent. Les deux. Mais celle qui tiens Kiyo se relâche finalement et tu te défais de son emprise par la force, lui jetant un regard aussi désemparé que désolé.
« Je – Kiyoshi. Je dois trouver Ange. Mais… on doit le rejoindre. Je veux dire. On doit se protéger. »
Et tu ne sais pas. Tu ne sais pas ce qui est le mieux. Tu ne sais pas ce qui est le pire. Tu sais juste que tu ne tiens pas à devoir te cacher dans une île sur laquelle vous êtes, de toutes façons, coincés. Tu ne tiens pas à tester vos chances de survies, face à ces types.
hrp : yume lâche kiyo et veut trouver ses potes
Sacrifices forcés et le doux visage de Takashi s’impose à ses pensées tandis que la colère submerge ses veines d’une insupportable fureur. Hein ? C’est un premier souffle qui trépasse sur sa langue, à grand-peine déraciné de l’abîme de sa stupeur. Ses muscles se tendent et sous l’accablante ardeur qui l’assaille il en délaisse Yori sur son chemin de croix, creuse sa tombe au moindre de ses pas. Il en scotomise quidam, descelle ses mâchoires et s’égosille : Hé dégénéré ! Ieyasu malheureux ilote, à jamais assujettit à son sang et à l’infame carcan d’une suprématie désavouée. Retourne donc fantasmer la sacro-sainte pureté de ton sang au plus profond de ta tombe ! Et sous sa peau rubescent brûle mille sursauts tout autant enfiévrés que révoltés.
Svp faites mine de rien et tout se passera bien.
Elle ne pouvait rien dire de plus, paralysée de peur. Une grande respiration, elle tournait son regard vers Naomi, puis vers Ayumi.
himawari répond à ayumi, choppe ayumi & naomi et se barre avec eux parce qu'elle veut juste pas rester en présence de ce shlague de seimei.
Les nés-moldus étaient certes des déchets, des sous-races, seulement ils restaient des personnes : des sorciers. Akshar les méprisait, ils étaient des ordures, souillures de son monde. Et pourtant, il n’acceptait pas les actes de cet homme, sa majesté ne serait sous les ordres de personne. Un regard vers son jumeau, la voix d’un idiot au loin, il serrait les poings d’agacement, la colère grondant dans ses veines.
Il l'avait répété, lui-aussi—l'homme qui réduisit ton bras à l'état que tous désormais connaissent. Un monologue de fou, une mégalomanie du vainqueur se pensant couronné du duel, si confiant qu'il aima cracher qu'il ne faisait qu'appliquer une volonté ancestrale. Tu mis fin à cette tirade en disjoignant de tes dernières force cette insupportable bouche du reste de son corps.
Quel idiot—lui aurait-il jeté un noir sort sur ce bras, s'il eut vent qu'il sonnerait l'alarme du retour de l'objet de son culte. Inutilisable, tes lèvres prononcèrent cependant le choix de le garder—t'essuyant les oppositions, désireuses qu'une prothèse le remplace.
Un matin, la douleur s'est éveillée—non au tremblement ni aux vagues, mais à ce dôme vous engloutissant—et n'a cessée. Une nouvelle matinée, les cartes sont finalement révélées, les joueurs tous prêts à gagner leur mise. La réclame du ressuscité ne t'étonna guère—tu eu juste le discours enfin complet—à l'arrière du cortège, loin de la scène, ne résonnait dans tes os que la déception à l'image d'Hidenori et Rajan se tenant à ses côtés. Le second, qu'il succombe aux griffes de l'aiguisé kitsune ; le premier est ton affaire personnelle.
La poigne à peine refermé sur ta dense chevelure, qu'une autre la trancha. Une œillade en quête se déposa sur Kiyoshi—heureuse qu'il tente une fuite, heureuse que tu l'aies attrapé avant qu'il ne le puisse. Nakamura, Ueda. une quarantaine de mèches séparée en deux paumes, au murmure d'une incantation, se transformèrent en lances. Tu leur en confias une dizaine il arrive que les baguettes ne suffisent pas ; fuyez et distribuez-les. et tu disparus de leur vision, remontant vers le nœud du problème. Sur le chemin, tu croisas Misawa et lui en força cinq contre ses bras, et tu repris ta marche. Vint le tour de Masamune, tiré d'un Tsukino, intéressant duo auxquel la dernière dizaine fût confiée.
Sans prendre garde des bousculades, des collisions, tes pieds ne suivirent qu'une ligne droite et se stoppèrent à l'orée du dernier rang du cortège—face à ces illuminés menteurs. La tête légère, nuque caressée par ton soudain carré, ni peur ni haine ne kidnappaient tes émotions. Cette prison de chair entière trépignait et se souvenait des frissons d'adrénalines que procuraient les confrontations.
Ta main pousse gentiment Hanae en arrière, les pupilles ne quittent les investigateurs du chaos. Je suppose que ma candidature est d'emblée rejetée alors j'espère que tu m'offriras une dernière valse, Hidenori. heureusement que, ce matin, tu avais décidé de ne pas t'encombrer de tes éternels talons et robe.
super tdlr; kaede savait, histoire de pk son bras est hors-service, coupe ses cheveux et les transforme en lances qu'elle distribue à kiyoshi, yume, hiro, ieyasu et akshar sur son chemin pour tabasser la gueule à hidenori.
Tu vois les visages inquiets, d’autres énervés, d’autres déterminés. C’est un sourire qui vient barrer le tien, d’une rare joie – oh, est-ce vraiment de la joie ? De l’impatience, de l’adrénaline, de l’excitation. Un mélange digne de ce que tu recherchais dans la drogue.
Qu’importe les affiliations, qu’importe Seimei et ses idéaux, qu’importe les sangs, qu’importe les yokai. Tu veux voir cette opposition. Tu veux de l’action. Tu veux te battre, les voir se battre ; tu veux la peur, tu veux te laisser griser par les sensations.
Tu rejoins la concierge, les professeurs – ceux qui se dressent face à Yuutsu.
« Je me fiche pas mal de tes histoires, grand-père. Mais si tu proposes un peu d’action, je suis partant. »
Une main sur ton sabre, tu le sors de son fourreau.
hrp : Natsuo kiff un peu trop la situation
Tu aurais aimé rire de la situation avec Ieyasu. Embrasser encore Jian. Mais il est apparu. Et a peine sa voix a retenti, à peine tu as perçu ses vêtements – ce putain de sashinuki avec ce putain de mon argenté – que déjà ton cœur s’est arrêté, que déjà l’angoisse t’a gagné. Tu te rappelles la potion. L’araignée au funeste destin. La sensation que ce type pouvait infiltrer tes pensées. Les larmes.
Ton regard est noir et l’envie de lancer le fond de ta pensée te brûle les lèvres, mais tu n’es même pas certain de pouvoir formuler une phrase correcte. Tu as davantage envie de jurer, en boucle. Et il y a la poigne de Jian qui s’est resserré autour de ton bras, t’empêchant de t’avancer.
Tetsuya fend la foule et tu sers fort sa main dans la tienne. Hajime, à la suite, vient agripper ton bras, l’air tout aussi paniqué. Il faut s’en aller. La phrase se répète, de l’un à l’autre. Et Nanami. Sa question t’angoisse. Où est Nanami ? Où est Kazami ?
Kazami.
« Je dois trouver Kazami. »
Tu n’attends pas de réponse, ne leur laissant pas le choix d’avancer avec toi jusqu’à ce que vous ayez trouvé ta petite sœur, que tu te hâte de prendre dans tes bras – sans te soucier de si les autres te tiennent toujours.
« Maintenant, on se tire. Rapidement. »
le discours perce dans mon crâne sa vérité et la mort d’un coup ne me fait plus peur
j’avais trop d’amour à donner mais il n’en reste plus rien ; l’effroi des élèves me mord les bras et mon regard accroche une goutte d’eau, perdue dans la mer paniquée
kayo ! et je crie et je cours et je m’accroche à son épaule
kayo écoute-moi, tu dois t’en aller. tu te rappelles de la dernière cachette de rui ? va là-bas, compte jusqu’à mille et serre ta baguette entre tes doigts
oh je te rejoindrai n’en doute pas, mais j’ai d’autres pairs à aider
ne fais confiance à personne, je murmure dans une étreinte, tu reconnaîtras le bruit de mes pas ? je sifflerai trois fois, si tu vas bien réponds-moi et j’embrasse le haut de son front, va, maintenant, et attends
je ne recule pas - non j’avance et je trouve un frère, une soeur - ieyasu tiré par un tsukino (je ne m’arrête pas), quelques rejetons goupil qui fuient et nael qui quelque part ne me surprend pas
mais mes pas me hissent jusqu’à hanae et ma gorge se serre comme mes doigts autour du bois
je ne crie pas, je souris juste
je sais pas nager
(momo ordonne à kayo de s’enfuir et rejoint nae)
Nael suit, Kayo demeure. Ange dessine dans le sol l’amorce de sa lâcheté mais, du coin de l’oeil, aperçoit son tendre cousin, bouffi de courage et tremblant de peur ; quelque chose se brise. Dans un élan déraisonné de le rejoindre, il rencontre brutalement quelques élèves - l’hésitation lui coûte l’initiative et, dans son immense pleutrerie, Ange profite de la nuée de sorciers pour se métamorphoser discrètement.
Il avance.
(ange commence à aller vers seimei, se ravise en voyant hotaru faire le mec badass, morph suffisamment pour être 100% méconnaissable, et rejoint seimei)(ps: si jamais, il ressemble à ça)
Votre chère directeur, que tu ne pourrais décrire, tu pourrais presque croire qu'il est devenue un adulte lambda, un adulte qui a du mal à surmonter des épreuves trop intense pour lui... Cela te fait bizarre Kazami mais, après tout, tout le monde à ses moments de faiblesse... Et je crois que pour le directeur de Mahoutokoro, ce n'est pas un moment de faiblesse mais, plutôt une personne qui lui cause beaucoup trop de tracas...
Une prestance impressionnante sauf qu'elle te fait froid dans le dos, son discours pareil...
Gloire et richesse, un monde qui n'appartient qu'aux sorciers... Tu recule un peu Kazami, ton cerveau réfléchis bien trop, et tout ce que tu pense c'est... Tu ne sais pas...
L'angoisse monte et une seul personne occupe ton esprit : Yori, ton aîné ! Tu regarde partout autour de toi puis comme s'il avait eu la même pensé que toi, le voilà qui débarque, te serre dans ses bras et sa phrase te fait encore plus peur...
Il est entouré de plusieurs personnes que tu reconnais sans mal évidemment, toutes les personnes auquel yori tiens...
Tu reprends un peu tes esprit Kazami et hoche la tête pour dire que tu es en accord avec la décision de ton aîné, de toute façon, rejoindre un homme comme Seimei ne te plaît, un monde idéal pour les sorciers n'est pas le tien Kazami.
hrp : Kazami perd patience mais, avec les événements angoisse puis retrouve son calme quand Yori débarque avec son groupe
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